Donne moi ta coupe
et non ta croupe, une expression bien connue de Frédéric Déhu quand il s’adressait à Fabrice Fiorèse dans le vestiaire marseillais mais dont les meurs du club remontent à l’époque du défenseur argentin Berizzo… mais il ne s’agit pas du sujet de mon blog du jour puisque je viens de manière pacifique pour vous souhaiter à tous, frères de foot, un heureux et agréable mondial. C’est également l’occasion pour moi de déclarer ouvert, de manière quasi-officielle mais surtout contraint par l’actualité, le Paris Mondial Blog. J’espère donc que les purs et durs me pardonneront d’élargir quelque peu mon champ d’horizon… peut-être même que parfois, je dirais du bien de Ribéry mais voyez-y plutôt une manière d’influencer les grands pontes qui me lisent à le dégoter le gaillard de l’OM… voici donc ouvertes ce soir les hostilités avec l’Allemagne contre les Ticos.
(attention Eduardo! je crois qu'un dirigeant marseillais te cherche pour t'ouvrir le derrière...)
Une bonne transition pour vous rappeler que le traumatisant Séville 82 est rediffusé actuellement à toutes les sauces en ce moment. Je sais bien que mon jeune âge ne me permet pas de me rappeler, contrairement à des millions de Français, le jour où j’étais quand les teutons nous l’ont mise sévère. Je sais également que l’affaire a été disséquée sous toutes les coutures. N’empêche, à la revoyure des images avec les commentaires d’époque, si l’on a la confirmation que Thierry Roland était déjà un gros bœuf (on ne s’invente pas…), on aura également du mal à me faire croire aujourd’hui que l’arbitre Monsieur Corner n’avait pas été acheté 1 000 fois pour cette rencontre. Mais puisque nous n’avons pas les preuves, nous nous contenterons de demander si Roland Courbis était présent dans les parages… Car si c’est Jean Kiri à Auxerre, Rolland pleure à la Santé puisque le lascar vient de prendre pour deux ans ferme quand son boss RLD en prend pour 18 mois avec sursis, de quoi donner du grain à moudre à Berizzo pour de nouvelles histoires de vestiaire… et un Jannot Fernandez qui doit maintenant boire un café avec nos amis les policiers pour discuter histoires de racket et de pressions diverses dans son quotidien à la tête du club olympien… pourtant, à la rédaction de PSB, on va être sport et ne croyons pas que de telles pratiques puissent avoir lieu au sein d’un club qui récure aussi bien ses vestiaires.
Toutefois, nous avons promis de ne point démarrer cette World Cup sous des augures belliqueux, je ferais donc mon bon office en vous offrant le tableau final de
Enjoy !
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