PSB 2009
Ca y est, c’est fait, on y est… cruauté pour le footeux, les années impaires sonnent généralement creux et l’été nous semble long. D’habitude, pour le supporter du PSG, cette langueur estivale est doublée d’une angoisse hivernale. Rien de tout ça cette année. Ne reste donc plus qu’à faire preuve de la moindre originalité qui soit pour vous souhaiter à tous une bonne et heureuse année 2009. Mon instinct de supporter prend de loin le pas sur celui du posteur en quête d’une audience en flèche, et c’est donc le titre suprême qu’on s’auto-souhaitera pour cette fin de saison. Et pourquoi pas après tout ? Un grand merci à vous tous, fidèles d’entre les fidèles, votre participation active aura plus que compensé mes moments de lassitude et les difficultés à trouver l’inspiration face à une équipe qui, mystérieusement tourne. Les motivations thérapeutiques originelles de ce blog évoluent donc et je compte sur votre aide pour ne pas laisser le radeau PSB voguer vers le consensuel mou intellichiant. Paris Santa Blog, c’est désormais 880 posts. Nous tenterons donc de pousser l’effort au moins jusqu’au millier histoire de le célébrer par un dîner qui n’a jamais été organisé (Dieu m’en pardonne). Voici donc une résolution qui en jette un max. Une attention plus particulière à la famille (Jean Mar-Raï , Matt, Pippo), aux compagnons d’infortune (Iron [après 7 années de collaboration, on a bien mérité ce qui nous arrive), Fio), aux anciens (FMPL, Parigi, Tedik, Smooth, Codor), aux plus zélés (Guil, Brahim, Polo la F., Stardust, Garfield), aux intermittents (Daft, Bolo, Post-it, jeremie, Lyonnais anti-OL, Genco, Carambole), aux Marseillais (JerC, Clément C.), aux lyonnais (Thomas), aux anti L1 (Juventino, TVN), à ceux qui aiment Rothen (Serge) et à tous les autres. Cette liste ne saurait être complète sans une pensée pour notre Sudiste, dont la présence ou non sur ce blog est encore le meilleur baromètre du club de notre cœur… ça a beau être galvaudé, sans vous, PSB ne serait pas. Tout le meilleur pour vous donc, parce que vous le valez bien.
(vous comprendrez l'absence de tout commentaire humoristique qui ne s'impose pas...)