Un bisou sur la fesse droite…
Aujourd’hui, c’est mon anniversaire. Pourquoi cette information si narcissique et qui ne vous apporte pas grand-chose dans votre lecture quotidienne ? D’abord et d’une parce qu’elle colle bien à mon égo surdimensionné (vous comprenez mieux désormais mon inimité d’avec Jérôme Rothen). Ensuite parce que vous êtes libres de m’envoyer des fonds et autres dons. Enfin parce qu’elle justifie l’existence d’un post si léger en ce dimanche breton.
(L'empereur Bazinus prêt pour les jeux du Cirque...)
Cette année, c’est de plus en plus probable, les cadeaux ne viendront pas de mère Paname. Babaze a déjà annoncé qu’il allait prolongé son bail à la présidence du PSG, ressemblant de plus en plus en cela à son illustre prédécesseur Pépère. Bien entendu, pour mener son mandat, Babaze n’aura pas oublié de s’entourer des plus beaux spécimens de bras cassés, meilleure garantie pour être sûr de ne pas être embêté dans l’exercice de ses pouvoirs. Si l’on continue au rayon des transferts, les emplettes semblent se dessiner du côté de clubs anglais de seconde zone, vers la Pologne ou vers les joueurs les mieux côtés de notre championnat (Malonga, Ruffier…). Bref, la saison n’est pas terminé que la prochaine est déjà mal engagée… même le départ de Roro vers la Bundesliga (Francfort ou autre club en forme de saucisse), épitaphe d’une triste carrière en jus de boudin ne parvient pas à me redonner complètement le sourire de ce côté-là… heureusement que vous, lecteurs, êtes là que nous puissions partager notre peine en collectivité. Ce PSB est finalement un peu le fesse-book des déçus du PSG. Un Facebook dont il faut tout de même rendre grâce d’avoir instauré le « wall-to-wall », fonction permettant aux oublieux de me souhaiter un joyeux anniversaire tout en évitant des coups de fil intempestifs… Comme quoi, tout n’est pas si noir. En noir et rouge, ce seront les couleurs que défendra la Moustache ce soir, nous rappelant ainsi de bons souvenirs, mais de mauvais, comme celle d’un triste gadin en coupe de France sans lequel, peut-être, j’aurais eu droit à un beau trophée en guise de cadeau d’anniversaire… mais si j’ai le moral…